11 octobre 2011
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un lieu d’étagères et des musiques dans des enveloppes des gravures pour jouer un tel silence que même la respiration se tait sens-tu en toi l’assaut du monde et sens-tu le peu de poids de tes mots de tes pas et sens-tu l’ombre se parjurer pour une parole
je suis ici dans l’ineffable c’est dire l’usure des intentions quand la séduction mord la poussière je suis ici visible et caché dans le rythme irrégulier du poème qui avance sans équipage ayant adopté depuis le feu la puissance du sable sa force moulée